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Mali Pays Dogon
Les masques dansent pour le plaisir des yeux, pour être appréciés des spectateurs. Chaque geste doit imprimer dans les fibres des volumes qui rendent la danse des masques surréelle, à la limite de la transe : jeux de reins, de jambes, de cou et de bras participent tous ensemble « cet effet de volume, rendant le " texte chorégraphique " surréaliste.
Ce qui fait la beauté du masque est qu'il est une double expression : celle d'une "forme achevée" dans la matière inerte et celle d'un "ensemble de mouvements" (costume corps, rythme) dont la forme achevée se trouve dans le rhombe son expression musicale.